Contexte du forum.

[PNJ]

Pas très loin dans la Région de l'Est, loin de la ville et des visiteurs trop curieux, un homme très riche, nommé le professeur White, décida un jour de construire un Asile pour fous.
En 1835, l’établissement fût ouvert et très vite,des rumeurs couraient comme quoi le Professeur White torturait ses patients jusqu'à la mort. Beaucoup de pensionnaire ne revenaient jamais de cet asile et beaucoup présentaient des signes de faiblesse et d'abus de violence.
Des inspecteurs décidèrent donc de visiter l'Asile et en découvrant que les rumeurs étaient vrai, White fut immédiatement arrêté.
En quelques mois, un nouveau directeur fut nommé. Il se nommait Jean-Baptiste Bouvier. Ce bon français reprit rapidement le contrôle du bâtiment et tout rentra dans l'ordre.

Le premier évènement tragique eu lieu a la fin des années 50. Le monastère aurait été fermé suite a un incendie tragique en décembre 1858 qui aurait fait trois morts. Trois jeunes garçons pris sur le fait par les frères, a fumer en cachette et ils auraient par la suite été enfermés dans l'endroit qu'ils auraient utilisés pour se mettre à l'abri des regards indiscrets. C'était une pièce qui servait de débarras ou rangement pour la literie. Ce qui pourrait expliquer la cause du premier incendie qui même à ce moment-là, n'est pas passé inaperçu vu la gravité de l'évènement qui causa plusieurs décès.

Malgré que l'on considère cet évènement comme isolé, Vingt ans plus tard le sort semblait toujours vouloir s'acharner sur ce bâtiment et contre les résidents qui s'y trouvaient. Encore une fois, un incendie feras rage au dernier étage de l'édifice au mois de janvier 1878. Cette fois, neuf patients disparurent dans l'incendie.
Presque toutes les victimes, âgées de 32 à 50 ans, ont péries asphyxiées au cours de leur sommeil cette nuit-là. Suite a ces évènements, l'édifice changera encore de main et sera repris par Nicolas White, un cousin du professeur.

36 ans plus tard, alors que tout semblait calme dans l'asile, ce fût la ville principale qui fût victime de nombreux incendies.
De 1914 à 1924 de nombreux incendies ravagèrent la ville et tout le reste. Les sols étaient devenus stériles, l'eau devint pollués et les maladies arrivèrent. Personne ne savait comment de tel chose pouvait se produire. Aucuns habitants de la ville ne pouvaient définir les débuts de ses feux et leurs violences étaient si grande que beaucoup de personnes mourraient.
Au début des années 30, la région de l'Est fût totalement contaminé par les maladies et par les incendies qui finissaient jamais.
Beaucoup de rumeurs couraient. Beaucoup disaient que c'était une malédiction ou que le diable en avait après eux. Et d'autre insistaient que c'était les fous morts de l'Asile qui se vengeaient.

Les habitants ne savaient plus quoi croire et tous étaient désespérés.

Jusqu'au jour où une annonce apparut. D'après ce qu'il y avait d'écrit, l'Asile proposait des chambres et des soins pour les malades et les affamés. Et n'écoutant que le Fléau qui les entouraient, les plus faibles et les plus craintifs commencèrent à s'exiler dans l'Asile.
En effet, l'Asile était devenu un refuge pour la Région de l'Est. Tout le monde y était le bienvenu et les soins étaient là.
Cela faisait beaucoup de bien de voir un endroit sain et de se sentir en sécurité. Les membres du personnels disaient que depuis 1914, aucun incendies et aucune maladies avaient dévastés l'endroit, comme si ce lieu était enfin protégé de ces catastrophes.
Vivant enfin dans la paix, les réfugiers ne se doutèrent de rien et aucun ne trouvaient ça étrange que l'Asile soit épargné alors qu'il était le premier à subir ce Fléau.

Et ils avaient tord de pas s’inquiéter, car l'Asile cache très bien son jeu. L'ancien directeur est devenu introuvable et la personne qui le remplace aujourd'hui ne se montre jamais. Personne, même le personnel ne l'a entendu ou vu.
De plus, chaque nuit, des bruits inquiétants dérangent le sommeil de ce qui vivent dans l'Asile. Et pour conclure tout ça, des réfugiers et des patients ont commencé à disparaître.
Ils disparaissent mais personne s'en aperçoit. Que deviennent-ils ? On l'ignore mais ce qui est sûr, c'est que l'Asile est loin d'être un si bon refuge...